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Ce qui coule, ce qui flotte

Julie Guillaume, Ce qui coule, ce qui flotte
Grand projet, Art-Espace, 2013
Promenade à marée basse, ramassant dans un sable humide, fossiles, bois, cordage, pierres et coquillages. Ces objets, méticuleusement collectés, incarnent les fragments disparates d’une attention sensible et plastique exercée dans des lieux en transition. Ces prélèvements vibrent d’un potentiel poétique tout juste entre aperçu, interrogateur.
  • Vue de l'exposition «Ce qui coule, ce qui flotte », juin 2013 © EnsAD / L.SUDRE
  • Vue de l'exposition, Appel et gestes © EnsAD / L.SUDRE
  • Crayon de couleurs sur papier Ingres, 24 x 30 cm, 2013 © EnsAD / L.SUDRE
  • Immergées, porcelaine, 200 x 80 x 45 cm, 2013. © EnsAD / L.SUDRE
  • Bondage, corde, pavés de grès. 170 x 230 x 30 cm. 2013 © EnsAD / L.SUDRE
  • Le flottant Parquet en chène massif, métal, bouteilles, sable, eau de mer. 280 x 115 x 60 cm. 2013 © EnsAD / L.SUDRE
  • Bambou, ficelle, pierres de rivière, peinture. 350 x 100 x 170 cm. 2013 © EnsAD / L.SUDRE
  • Faïence partiellement émaillée, bois, 70 x 75 x 65 cm © EnsAD / L.SUDRE
  • Elévation Platre, tasseaux, 215 x 80 x 60 cm, 2012 © EnsAD / L.SUDRE
  • Vue de l'exposition, Elévation, Le flottant, Sans titre, Juin 2013 © EnsAD / L.SUDRE

Descriptif

Informations

C’est par le dessin et la photographie que vont être répertoriés en un vocabulaire de formes, de couleurs et de textures ces éléments conservés avec soin. Le travail dessiné est une étape clé puisqu’il permet d’éprouver dans le temps l’objet et sa nature submergée. Riche de ces différentes expériences menées en amont, la sculpture arrive comme point de finalisation d’un processus de valorisation de l’anodin. Elle révèle mes impressions initiales quant aux qualités propres des objets observés. Le travail sculptural s’inspire de ce qui vient toucher
ma perception dans un moment et un espace choisi : une forme, une relation, une narration, une atmosphère. Il s’organise inconsciemment afin de voir émerger des bribes de ces différents contextes d’émotions plastiques en confrontant éléments d’origines préservés et éléments nouvellement créés. L’eau, la mer, la rivière. Du port à l’îlot, en passant par l’embarcation, « Ce qui coule, ce qui flotte. » exprime le mouvement houleux des intuitions, celui qui voit émerger une pensée derrière une autre, avant de saisir et d’amplifier.

Étudiant(s)
Julie Guillaume
Titre
Ce qui coule, ce qui flotte
Tipo
Grand projet
Secteur
Art-Espace
Année
2013