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Dans le cadre du centenaire du surréalisme, la Maison Elsa Triolet-Aragon propose un cycle de conférences pour redécouvrir ce mouvement littéraire et artistique qui devait changer son siècle et continue d’interpeller le nôtre.

Parler de l’humain, de nos personnages sociaux et de psychologie à travers le médium du jeu de société.

Nous sommes tous sous un ciel de papier pouvant se déchirer à tout moment. La seule chose à ne pas laisser s’envoler et à garder précieusement est l’identité du lieu, un halo impalpable, un fil très fin, qui est l’histoire de cet espace, la vie derrière ce décor.

Au bord d’un fleuve se construit à partir de l’assemblage de morceaux de textes poétiques évoquant l’anticipation, la déformation du temps par nos sens, l’exploration et l’appréhension fluctuante de l’autre.

Le projet part de ce postulat : un artiste est un détective privé. Il enquête, recherche des signes, des indices au milieu de la confusion des choses. Il s'agit alors d'essayer d'organiser et de comprendre le chaos.

PROMESSE est un programme de l'École des Arts Décoratifs, à destination de ses diplômé·es et de ses étudiant·es en 3e, 4e et 5ème année, pour préparer au mieux jeunes artistes et créateurs à s’insérer dans leur activité professionnelle et leur donner les clefs de la création d’activité.

À ceux qui vivront demain parmi les ruines, à leurs enfants jouant dans les forêts de béton, il faudra peut-être laisser une note. Une carte, une trace qui donneraient un nom à toutes ces carcasses de bâtiments, à chaque déchet qu’ils trouveront dans la poussière.

"Ruine éternelle" est un spectacle lumineux et sonore d'une durée de 15 minutes. On y suit le personnage de Darya, être vivant dans un futur lointain, qui habite un monde où Le Vent souffle sans cesse.

La Chute de la carnation est une installation traduisant un trouble dissociatif appelé dépersonnalisation/déréalisation. Elle se compose de trois espaces symbolisant trois états de conscience successifs par lesquels passe le spectateur pour éprouver un rapport au réel en déconstruction.

Le Mal Dit de Gabrielle est à mi-chemin entre un dispositif muséographique – qui montre – et un dispositif scénographique – qui raconte. Ce projet a pour origine la lecture des Fragments du discours amoureux de Roland Barthes.