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Presqu’île est un pont allant à la rencontre de deux jeunes femmes, presque encore des enfants, toujours en mutation, amoureuses et curieuses, et de leurs jeux.

Las imagenes viajeras, un retorno al sol

Les images voyagent à travers l’océan et le temps.

Un orchestre est réuni dans une salle polyvalente. Il joue un muzak, une musique d’ambiance aseptisée, fonctionnelle, qui n’est pas faite pour être écoutée, mais à vocation à augmenter la productivité.

Antoine, un jeune adulte rêveur, habituellement cloîtré dans sa chambre, n’y est plus. Que s’est-il passé dans cette chambre ? Où est-il allé ? Que lui est-il arrivé ? Sa petite amie s’inquiète, mais ses meilleurs copains tentent d’en rire.

Louise Fauroux décrypte l’ici et maintenant en spéculant sur les futurs possibles face aux dilemmes humains et éthiques d’aujourd’hui.

Le soleil se couche, à la fois furtif et intemporel, entre le jour et la nuit, le début et la fin ; un homme s’endort. Il rejoint dans son sommeil les bras d’Endymion, gardien de ses nuits.

Changements d’états physiques et émotionnels Installation photographique et projection d’images avec bande originale et performance sonore de Talita Otović. Modèles : Esther Deboaisne, Tom Dufresne et Jeremy Leloutre.

Huellas en espagnol signifie « empreintes ». Durant douze ans, de 1973 à 1985, l’Uruguay a subi une dictature militaire à cause de laquelle une partie de la famille de Vera Prego s’est exilée en France. Avec le temps, tous sont retournés dans leur pays, à l’exception de son père.

Alors qu’elle débute sa promenade avec ses parents dans un jardin à Tahiti, une jeune fille s’éloigne du sentier et se perd inexorablement dans le paysage.

Déambulation en trois chapitres