Clôture de la résidence pédagogique itinérante du duo d’artistes Dread Scott et Jenny Polak dans six écoles supérieures d’art et de design réunies en un consortium de travail coordonné par l’ANdEA.
Clôture de la résidence pédagogique itinérante du duo d’artistes Dread Scott et Jenny Polak dans six écoles supérieures d’art et de design réunies en un consortium de travail coordonné par l’ANdEA.
Développée avec les Ateliers Médicis, cette école d’art d’un nouveau genre propose une formation à 14 jeunes créatifs, issu·es de Seine-Saint-Denis ou des départements limitrophes.
Développée avec les Ateliers Médicis, cette école d’art d’un nouveau genre propose une formation à 14 jeunes créatifs, issu·es de Seine-Saint-Denis ou des départements limitrophes.
La narration est omniprésente dans les recherches menées par Wendy Sylvain. Derrière chaque image se cachent son message, son histoire. Une même histoire est parfois racontée sous différents angles et points de vue.
La narration est omniprésente dans les recherches menées par Wendy Sylvain. Derrière chaque image se cachent son message, son histoire. Une même histoire est parfois racontée sous différents angles et points de vue.
Waiting Rooms for Utopia est une installation d’écrans et d’objets imprimés présentant une série de peintures numériques. Elle est articulée autour d’une vidéo principale reprenant la forme d’un écran de veille. Les personnages se dessinent dans des jeux de pouvoir avec les spectateur·rices.
Waiting Rooms for Utopia est une installation d’écrans et d’objets imprimés présentant une série de peintures numériques. Elle est articulée autour d’une vidéo principale reprenant la forme d’un écran de veille. Les personnages se dessinent dans des jeux de pouvoir avec les spectateur·rices.
« Le traumatisme à cela d’inoubliable qu’il est paradoxalement une expérience dont on ne peut se souvenir et qu’on ne peut raconter », Michael S. Roth, Memory, Trauma, and History, Columbia University Press, 2011.
« Le traumatisme à cela d’inoubliable qu’il est paradoxalement une expérience dont on ne peut se souvenir et qu’on ne peut raconter », Michael S. Roth, Memory, Trauma, and History, Columbia University Press, 2011.
Après être retourné dans son jeu, Maxence Weyland a décidé de ne plus suivre l’histoire qui l’avait marqué l’été dernier. Ce qu’il gardait en tête, c’étaient les épaisses fumées, les rayons lumineux, la végétation luxuriante qui bougeait sous les pas de l’héroïne.
Après être retourné dans son jeu, Maxence Weyland a décidé de ne plus suivre l’histoire qui l’avait marqué l’été dernier. Ce qu’il gardait en tête, c’étaient les épaisses fumées, les rayons lumineux, la végétation luxuriante qui bougeait sous les pas de l’héroïne.
Dans ce livre où les pages se cornent à chaque saison, rien ne rentre, je vois flou, le voyage est longueur et comme un saut dans le vide, une éternelle chute libre intense et sans retour.
Dans ce livre où les pages se cornent à chaque saison, rien ne rentre, je vois flou, le voyage est longueur et comme un saut dans le vide, une éternelle chute libre intense et sans retour.
Mae Ferron nous invite à entrer dans une installation par l’intermédiaire de trois boîtes sculptées à l’image de celles qu’elle garde enfouies dans ses arrières pensées, cachées sous des souvenirs perdus.
Mae Ferron nous invite à entrer dans une installation par l’intermédiaire de trois boîtes sculptées à l’image de celles qu’elle garde enfouies dans ses arrières pensées, cachées sous des souvenirs perdus.
En anglais, la traduction littérale du mot « manie » est mania et désigne une habitude spécifique d’un individu, terme qui qualifierait le mieux selon Alphonse Jacquet, le caractère compulsif de son travail.
En anglais, la traduction littérale du mot « manie » est mania et désigne une habitude spécifique d’un individu, terme qui qualifierait le mieux selon Alphonse Jacquet, le caractère compulsif de son travail.