Enseignant.es

Elisabeth Ballet engage son travail sur les questions du déplacement dans l’espace, sur l’articulation du dehors et du dedans, des mots aux choses, du dessin vers la sculpture, du mur vers le centre, du plan vers le volume et plus généralement d’une œuvre vers l’autre.

1981 diplômée de l’ENSBA, Paris. 1984/85 Villa Médicis, Rome, Italie. 1989 Villa Médicis hors les murs, U.S.A. 1994 boursière à la Pollock and Krasner Foundation, New York, U.S.A. 1996 une année à Berlin dans le cadre de la DAAD.

Résidente à la Villa Médicis en 1984 et 1985, participe à la 43ème Biennale de Venise en 1988. En 1997, le musée d’Art moderne de la Ville de Paris et en 2002, le Carré d’Art de Nîmes, la kunsthalle Göppingen et le museum Folkwang Essen en Allemagne lui consacrent une importante exposition. Elle expose au Grand Café à Saint Nazaire et au Louvre en 2007, au musée Bourdelle, Paris en 2010, au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Valence en 2011, en 2017 une exposition monographique au musée d'art contemporain, le Mac Val à Ivry-sur-Seine.
Travaille régulièrement sur de nombreux projets de commandes privées et publiques (ex: voir Nouveaux commanditaires "Vous me direz" 2014.)

2017: Catalogue de l’exposition "Tout En Un Plus Trois" d’Élisabeth Ballet, 304 pages, 220 reproductions, bilingue français-anglais. Textes d’Élisabeth Ballet, Alexia Fabre, Michel Gauthier, Frank Lamy, Élisabeth Lebovici, Julie Portier, Philippe Vasset. 2002 : Catalogue de l’exposition "Vie privée", Musée d’art contemporain, Le Carré d’Art, Nîmes, version française, anglaise allemande, textes : Michel Gauthier  et Elisabeth Ballet, Werner Meyer, Necmi Sönmez.
1997: Catalogue de l’exposition  "ZIP", Offenes Kulturhaus, Linz, textes: Martin Sturm Introduction, Katrina M. Brown, Elisabeth Madlener Walking, Elke Krasny.
1997: Catalogue de l’exposition "BCHN" Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, textes : Laurence Bossé, Hans-Ulrich Obrist, Elisabeth Ballet s, Ed. Paris Musée.
1999: Catalogue de l’exposition "Night Roofline", Le Creux de l’Enfer, Thiers, le Parvis, Pau & Ibos, textes: Elisabeth Ballet.
1987: Catalogue de l’exposition "Dimanche d’un siècle", Galerie Roger Pailhas, Marseille, texte: Loic Malle.
1988: Catalogue de l’exposition  "43ème Biennale de Venise ", Scuola San Giovanni Evangelista, Venezia, texte: entretien entre Elisabeth Ballet et Bernard Marcadé.
1990: Catalogue de l’exposition "Face-à-main", Galerie des Archives, Paris, texte : Eric Troncy. Catalogue de l’exposition  "Suite pour Face-à-main", centre d’art contemporain du domaine de Kerguéhennec, Locminé, texte: Jean-Pierre Criqui.

Artiste, il enseigne la peinture au sein du secteur Art-Espace de l’École, et assure la coordination du premier cycle. Diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Dijon (1996), son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles en France et à l'étranger, notamment au Musée Niépce à Chalon-sur-Saône en 2000, à la galerie LMAK Projects à New York en 2006 et 2009, à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris en 2013, à la Galerie Triple V à Paris en 2017.

La recherche de Gerald Petit consiste à expérimenter les modalités d’apparition, de génération et de fixation des images. Il utilise pour cela plusieurs médiums, tels des outils, et plusieurs catégories de représentation, privilégiant toutefois ces dernières années la peinture. À la rentrée 2023, il participe à l’exposition "Images" au Point du Jour à Cherbourg, et présente une exposition monographique au Frac de Caen, intitulée "Ni île", du 13 octobre 2023 au 18 février 2024. Il a enseigné et créé le programme inaugural à l’École des beaux-arts de Chalon-sur-Saône de 1999 à 2007, avant de rejoindre l’Ensba Lyon de 2008 à juin 2017, puis l’Ensa de Dijon jusqu'en 2019, date à laquelle il a rejoint l'École des Arts Décoratifs.

La démarche artistique de Kristina Solomoukha inclut une grande variété de projets collaboratifs et curatoriaux. Nourrie d'un intérêt pour l'anthropologie et l'histoire, ses œuvres, qui vont du dessin à l'installation, de la vidéo à la performance, interrogent la dimension politique et sociale des images.

Née en 1971 à Kiev (Ukraine), Kristina Solomoukha a étudié  à l’Institut d’Art Industriel de Kiev. En 1995 elle est diplômée de l’ENSBA de Paris.

Elle a enseigné à la HEAD à Genève, l’ENSA Paris-Malaquais, l’ESAD à Reims et est intervenue dans les écoles d’art, design et  architecture en France et à l’étranger. Actuellement  elle enseigne à l’EESAB site de Rennes et à l’ENSAD à Paris. Pour ses réalisations plastiques elle initie des collaborations avec les artistes, graphistes, curateurs et  architectes. Ses installations, vidéo ou  projets curatoriaux  procèdent de la recherche dans les champs de l’histoire, l’anthropologie et la sociologie.

Récemment le travail de Kristina Solomoukha a été présenté à Vabaduse Galerii (Tallin, Estonie), à Tabakalera (San Sebastian, Espagne), à Closer (Kiev, Ukraine). Et en France aux Laboratoires d’Aubervilliers, à la Nuit Blanche et à la galerie Contexts à Paris, au FID de Marseille, au 116 centre d’art contemporain de Montreuil, ainsi qu’au FRAC Poitou-Charentes.

Sarah Tritz développe depuis une vingtaine d'années une pratique plastique protéiforme mêlant dessins, peintures sur papier, sculptures, mobilier et installations. Le dessin est l'outil principal de sa réflexion plastique et conceptuelle, il opère comme une écriture archaïque et minimale. Le trait synthétise des filiations hétérogènes en passant par la copie et la traduction. Elle occupe, pour le secteur Art-Espace, le poste d’enseignement de la sculpture et de l’installation artistique.

Sarah Tritz stylise et synthétise des objets domestiques selon une écologie de moyens qui alterne entre des productions d'atelier et des productions artisanales. De nombreuses expositions, à Bétonsalon à Paris (2008), Parc Saint-Léger à Pougues-les-Eaux (2014), à la Fondation d’entreprise Ricard à Paris (2015), au FRAC-Artothèque du Limousin à Limoges (2018), l’on installé comme figure incontournable de la jeune scène française. Elle expose actuellement au Crédac avec les œuvres de 28 artistes invités ((‘J’aime les roses pâles et les femmes ingrates’, jusqu’au 15 décembre) et à la Fondation Ricard dans le cadre du 21e prix de la Fondation. Son travail sera bientôt visible au Palais de Tokyo dans l’exposition Futur, ancien, fugitif (novembre 2019) qui réunit des artistes nés entre les années 1930 et les années 1990, mais qui vivent et travaillent tou•te•s, dans et avec leur époque...

Architecte diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville, sa pratique est ancrée dans une approche humaniste, développant des méthodes de conception et de production basées sur les dimensions sensibles de l’espace. Pauline Marchetti est lauréate du prix Europe 40Under40, par le biais duquel le European Centre for Architecture Art Design and Urban Studies distingue les architectes et designers les plus prometteurs de leur génération.

D.R

Né de la collaboration de Jacques Ferrier et Pauline Marchetti pour la création du Pavillon Français de l’exposition universelle de Shanghai en 2010, Ferrier Marchetti Studio associe recherche et production pour une société urbaine durable. Depuis, l'agence Ferrier Marchetti Studio à développé un nombre important de projets tant publics que privés, français et internationaux, alliant recherche et architecture.

Pour résister à la fabrique de mondes urbains sans qualités, le laboratoire de recherche et de prospective urbaine Sensual City porte depuis plus de dix ans la vision de la "Ville Sensuelle". La Ville Sensuelle invite à remplacer l’urbanisme de géométrie par un urbanisme d’atmosphères, de matérialités, de contexte et d’identités, en partant du corps et des sens.

Le Studio partage ses recherches à travers les Sensual City Papers, libre contribution au débat pour repenser la ville, édités avec la participation du philosophe Philippe Simay.
Ces publications permettent d’aborder des thèmes essentiels et parfois impensés de la fabrique architecturale et urbaine afin d’imaginer un monde plus appropriable, plus durable, plus sensuel.

Après des études de Lettres Modernes à Toulouse et un travail autour du signe en bande dessinée et de l’OULIPO, Romain Blanc-Tailleur intègre l’EnsAD, et s’y spécialise en cinéma d’animation.

En  parallèle, il se perfectionne au trombone et en composition musicale. Après quelques années comme réalisateur indépendant, Romain devient un membre actif du jeune studio toulousain « La Ménagerie », où il endosse toutes les casquettes : assistant de production, post-producteur,  animateur 2D  et volume assistant réalisateur, scénariste, compositeur de musique... Aujourd’hui  il  écrit  et  réalise des films et des séries d’animation, crée des spectacles autour de l’image animée et compose de la musique pour le cinéma.

Sa vie d’adulte commence par la menuiserie, puis par appétit, intègre pour deux années les beaux-arts de Bourge. Attiré par la pléthorique programmation des cinémas parisiens, il poursuit ces études à l’EnsAD. Après deux années de spécialisation en cinéma d’animation et vidéo, ces activités se partagent entre deux pratiques : plasticien, ( expositions, installations, projections), et technicien en cinéma d’animation, (opérateur, chef opérateur).
Par un drôle de hasard, l’enseignement l’attrape pour ne plus le lâcher : Depuis 1989 aux Gobelins école de l’image et depuis 1997 à L’EnsAD, aussi pour des interventions ponctuelles ; à la faculté, dans des centres de formation et dans d’autres écoles encore.
En parallèle à ses activités pédagogiques, il participe, à différents titres, à de nombreux projets ; conseils, éclairage, fabrication, tournage, montage, scénario et réalisation.

Réalisateur de films d'animation et illustrateur. Auteur de 10 courts métrages, dont Journal, Des câlins dans les cuisines Vasco, Daphné ou la belle plante et Vibrato (3eme Scène – Opéra de Paris), ainsi que de 6 films-de-poésie en collaboration avec Luc Bénazet. Son travail a été sélectionné et primé dans de nombreux festivals (Annecy, Cannes, Clermont-Ferrand…).

La jeune fille sans mains est présenté à Cannes (Acid) et reçoit divers prix internationaux, dont une mention spéciale du jury au festival d'Annecy. Sorti en salle en décembre 2016, il est nommé aux César 2017 dans la catégorie Meilleur long-métrage d'animation.

Linda veut du poulet ! en co-réalisation avec Chiara Malta, présenté à Cannes (Acid) et à Annecy où il reçoit le Cristal du long-métrage, sort sur les écrans en octobre 2023.

Il conçoit des affiches de films (La Fille du 14 juillet) et des génériques, notamment pour Emmanuel Mouret (Laissons Lucie Faire, Fais-moi plaisir, Vénus et Fleur...). Il est également l’auteur de 4 clips pour Dominique A, diffusés en 2018, et pour Etienne Daho (Ici-bas) en 2019. Auteur de performances d'animation en direct, il est représenté par la galerie Miyu et expose à la Drawing Now Art Fair en 2022.

Il enseigne à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs depuis 2001 et réalise actuellement un nouveau long-métrage d'animation : Prends garde à toi !, adaptation libre de Carmen.

Née en 1981, Vergine Keaton est une réalisatrice et artiste visuelle française qui vit et travaille à Paris. Ses projets se situent à la croisée du cinéma et des arts visuels. Après des études de graphisme et de cinéma, elle réalise son premier court métrage d’animation Je criais contre la vie. ou pour elle en 2009. Le film sera présenté dans une centaine de festivals dont celui de Cannes dans la sélection ACID.

Son troisième film Le Tigre de Tasmanie est sélectionné en compétition officielle du festival de Berlin 2018. En 2020, elle collabore avec la chef d’orchestre Laurence Equilbey en réalisant le court métrage Agnus Dei, autour de l’oeuvre de Samuel Barber, pour Arte Concert. Elle crée également des installations multi écrans et travaille sur la mise en espace de ses films. Ses œuvres ont été présentées à Times Square - NY, au centre Pompidou Metz, à la Maison de la Poésie à Paris, au Musée d’Art Contemporain Erarta à St Petersbourg, à l’Alliance Française de New York, au festival Hors Piste au Centre Pompidou, à la galerie Miyu ou à la Nuit Blanche à Paris. Elle développe actuellement son premier long métrage d’animation.

Serge Verny est enseignant et coordonnateur du secteur Cinéma d'animation à l'École des Arts Déco.
Secteur cinéma d’animation  3e/4e/5e année

-Diplômé en cinéma-animation-vidéo de l’EnsAD
-Diplômé du CFT Gobelins
-Docteur en arts et sciences de l’art de l’Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, section cinéma, télévision et audiovisuel.
-Maître de conférences des Universités
-Pensionnaire de l’Académie de France, Villa Médicis à Rome.

Dessinateur, animateur, storyboarder  pour : Antenne 2, Télé Hachette, Canal +, CNRS, Ellipse, Nelvana, Les Cartooneurs Associés, Brizzi Films, Disney France Feature Animation, JPL Films, Creamuse , Prima Linea . Il réalise plusieurs films comme auteur : 1989 : Thulé (1989), Pictographe (1991), Phénomènes (1992), "Over The Emerald World". (film d’animation pour salle dynamique, Hanovre- Projet pour le Regenwaldhaus, exposition universelle, 2000). A partir de 1995, il enseigne à l’EnsAD et depuis 2006, il est coordonnateur du secteur Cinéma d’animation . Il poursuit un travail de recherche sur les formats non standard.

Publications récentes :
« A propos du mythe du cinéma total d’André Bazin », in Philippe Jaulmes, le cinéma hémisphérique, préface de Paul Virilio, éditions AVL Diffusion, 2010.
« La course à l’abîme », in Georges Schwizgebel, peintre et cinéaste d’animation, Patrick Barrès (Dir.), L’Harmattan, collection « Cinémas d’animations », 2012.
« Etude du sensible chez le spectateur dans la réception des dispositifs-écrans », in Le Corps sensible, Steven Bernas(Dir.), L’Harmattan, série :Théories de l’image/Images de la théorie, 2013.
A paraître : Lignes et kinesthésie in Cinéma d’animation et arts plastiques, la question du dessin, Patrick Barrès, Serge Verny (dir.), coédition Ensad/ L’Harmattan.
- Participation au colloque « Archives et acteurs des cinémas d’animation en France »INHA,30-31 ,octobre 2013

Enseignant en design graphique, typographie et design de caractères typographiques, Il intervient dans la spécialisation Design graphique / Multimedia (en 2, 3, 4e années) et au sein d’EnsadLab.

Né en Suisse, il étudie à Zurich chez Hans Rudolf Bosshard, puis à l’ANRT à Paris. En 1995, il fonde son propre atelier avec des projets liés au domaine culturel et institutionnel, des scénographies pour le théâtre et des projets tridimensionnels. Créateur de caractères, il conçoit des caractères sous son label AB Type Foundry (AB Baldinger, AB BDot, AB BLine, AB Eiffel, AB Newut…).
Il est lauréat des bourses du Ministère de la Culture, de la Confédération suisse (Prix fédéral de design) et du Cnap.
Ses créations sont régulièrement primées (TDC New York et Tokyo, les plus beaux livres suisses, 100 meilleures affiches D/CH/A…) et se trouvent dans les collections de la BNF, du Design Museum Zurich/CH et du Toyama Museum of Modern Art/JP.
En 2005, la Banque Nationale Suisse l’invite à participer au concours des nouveaux billets suisses. En 2008 il fonde avec Toan Vu-Huu l’atelier de conception graphique et typographique Baldinger•Vu-Huu. Des identités visuelles (frac-Île-de-France, le DOC, le Centre de création Olivier Debré…), des caractères typographiques (CCCOD, de la nouvelle signalétique du projet Les Halles à Paris…), des livres d’artistes et des projets éditoriaux (John Berger, Michel Blazy, Alain Huck, Marc Johnston, JRP Ringier, Aby Warburg…) et des signalétiques d’exposition (Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg,  Cité de l’architecture et du patrimoine…).
Il a été cofondateur et co-directeur du laboratoire de recherche l’EnsadLab Type à l’EnsAD (2008-2014) et membre du comité scientifique et coorganisateur du colloque « Design graphique, les formes de l’histoire » qui a eu lieu le 27 et 28 novembre 2014 au Centre Georges Pompidou et à l’EnsAD. Il est membre de l’AGI.

Voir aussi 

Conférences et films en ligne
– Thomas Sipp et Baldinger•Vu-Huu, «CCCOD, naissance d’un caractère typographique»
https://vimeo.com/219526918
– Baldinger•Vu-Huu, « Unreleased projects »
https://www.youtube.com/watch?v=Z061iFhKbEI&feature=youtu.be
– Centre Georges Pompidou Parole au graphisme, « Baldinger•Vu-Huu »
https://www.centrepompidou.fr/cpv/ressource.action?param.id=FR_R-dacc77c...

Conférences avec EnsadLab Type
– Colloque “Design graphique, les formes de l’histoire”
http://www.dailymotion.com/video/x2gkk6y
– https://www.atypi.org/conferences/hong-kong-2012/programme/programme/act...
– https://www.atypi.org/conferences/dublin-2010/programme/programme/activi...

Publications liées à EnsadLab Type
– «Horizontal/Vertical», 2009
– Le projet «Sorbonne», The “Sorbonne Project”, 2010
– «Design graphiques, les formes de l’histoire», B42, Cnap, 2017

__________________________________________________________

André Baldinger a également participé à  l’exposition  « Les Suisses de Paris – Graphisme et typographie » au musée du Design de Zurich
En 2017, Au musée du Design de Zurich (Museum für Gestaltung) se tenait l’exposition « Les Suisses de Paris – Graphisme et typographie ». Plusieurs anciens enseignants de l’EnsAD, devenus des figures historiques internationales, y étaient représentés, tels le dessinateur de caractères Adrian Frutiger et le graphiste Jean Widmer à l’origine d’un profond renouveau de l’enseignement du graphisme à l’EnsAD à partir des années 1960. André Baldinger et Ruedi Baur, actuellement enseignants à l'EnsAD y furent également exposés.

Enseignante en design graphique, elle intervient dans la spécialisation Design graphique (en 4 et 5e années), dans les autres secteurs de l’école par le biais de workshops et en première année. Elle enseigne les fondamentaux du design graphique appliqué à l’espace et à l’urbanisme et la méthodologie du projet de design participatif, de recherche et d’exposition.

Camille Baudelaire est diplômée de l’école Estienne, de l’ESAA Duperré et de l’EnsadLab, et fondatrice et directrice de création de l’atelier Baudelaire, qui œuvre depuis 10 ans à l’intersection de la recherche, du design graphique et du design d’espace.
Le studio aujourd’hui co-dirigé par Olivia Grandperrin, collabore avec des institutions culturelles, théâtres, musées et centres d’art aux confins des disciplines : l’objet imprimé (édition, identité…), la signalétique, les médias interactifs, le design d’exposition, d’objet et le projet participatif. L'atelier s'ancre dans la tradition du graphisme d'auteur en quête d'excellence et d'engagement, tout en proposant un modèle horizontal et novateur : il valorise le travail des femmes designers, promeut la porosité des pratiques et la création collective.

L’Atelier œuvre dans les territoires, en étant lauréat de l’appel d’offre pour la nouvelle identité visuelle de Rennes Ville et Métropole (avec les dessinateur·ices de caractère Alice Savoie et Alexandre Bassi), du parcours graphique de la ville de Chaumont avec Eugénie Bidaut pour la réalisation du projet Chaumont Amour, et de la résidence typographique du CNAP en 2023, (porté par la Cité internationale de la langue française au château de Villers-Cotterêts, le Centre des monuments nationaux, l’Imprimerie nationale) avec Eugénie Bidaut.

Très investit dans la cause féministe intersectionnelle et la recherche, l’Atelier Baudelaire porte la collective @feminisme.en.forme.s, soutient les associations Contemporaines et HF, accompagne l’institut du Genre et conçoit des expositions aux confins de la médiation culturelle, des gender studies et de l’Art contemporain. En 2023 il signe l’exposition La Fabrique des Caractères, portant sur les stéréotypes de genre dans l’industrie du jouet, à Chaumont, dans le cadre de la biennale Internationale du design graphique. En 2020 au MAD, en 2023 au CID Grand Hornu et en 2024 à l’espace Milleformes à Clermont Ferrand, le projet de recherche pédagogique Jeu de Mots est successivement exposé.

Camille partage son temps entre un travail exploratoire de recherche et une activité de design de commande dans laquelle la pédagogie, le lien au public et l'intelligence collective jouent un rôle central. Elle anime régulièrement des conférences et des workshops sur ces thèmes dans les institutions et les écoles. Depuis 2007, elle enseigne dans différentes écoles, aussi bien dans les domaines du design graphique que dans ceux plus interdisciplinaires ayant trait au signe dans l’espace, accordant une importance particulière à la transmission entre générations.

Ses travaux (affiches, livres, éphéméras, objets…) sont intégrés aux collections du MAD, du CNDG, de la fondation Luciano Benetton Imago Mundi, et sont aujourd’hui régulièrement exposés et publiées dans des ouvrages et catalogues.

Camille est membre active du Comité Rosa (comité féministe de l’Ecole) et propose à l’école des workshops interdisciplinaires à l’occasion des grandes manifestations annuelles pour les droits de la femme.

Conférences et films en ligne :
Conférence de Camille Baudelaire au Signe, Centre National du Design Graphique 
Camille Baudelaire — Le 24 novembre 2021 à Rennes
Atelier Baudelaire at Type Paris — June 3 2023 (in English)

Né à Grenoble en 1980, Vadim Bernard a étudié le design graphique et le multimédia aux Beaux-Arts de Valence puis à l’EnsAD où, après son diplôme, il a intégré le post-diplôme ARI, atelier de recherche interactive.

Dès 2001 il rejoint le collectif Incident et collabore avec des artistes et des studios de design graphique sur des projets de dispositifs interactifs ou de design de mouvement.
Il expose ses recherches interactives en ligne ou dans le cadre d’événements de 2003 à 2009.
En 2003 il reçoit le prix SCAM de l’œuvre d’art numérique interactive pour incident.net.
En 2007 il co-fonde Dépli design studio avec Aurélie Gasche et Benjamin Gomez. Ensemble ils créent les identités visuelles du MAC/VAL, du Fresnoy - Studio national des arts contemporains, et au sein du groupement Insight, participent au projet signalétique et multimédia du Louvre Abu Dhabi.
Ils conçoivent entre autres les sites internet d’Europan France, du Magasin - CNAC, des Ateliers Jean Nouvel, les signalétiques dynamiques de la Cinémathèque Française, de Sciences Po et du centre culturel Lokremise à Saint-Gall (Suisse).
Ils collaborent également avec des scénographes et muséographes sur des projets de graphisme d’exposition et de production de contenus audiovisuels et interactifs de médiation comme pour le Musée du théâtre d’ombres à Chengdu (Chine), l’Institut du Monde arabe, le Grand Palais, le Musée d’Orsay, Hong Kong Heritage Museum, le Musée de Polytechnique, les Musées de Strasbourg, ou le Musée de l’air et de l’espace.

Diplôme de l'EnsAD
Bac C

Professeur à l'EnsAD
interventions pédagogiques à l'ENSCI les Ateliers
et L'ESAD Amiens

Interventions au Master nouvelles technologies de l'Ensci de 1993 à 2003

Encadrement des bourses d'aide à la création du cnap en nouvelles technologies de 1985 à 1990

Conception et réalisation d'éditions papier et multimedia depuis 1983

Roxane Jubert est graphiste-typographe, enseignante et chercheuse. Elle enseigne la typographie et le graphisme à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs depuis 1997, ainsi qu’à l’université Rennes 2 depuis 2005. Elle effectue des workshops dans des écoles d’art en France et à l’étranger, et intervient ponctuellement à l’université Paris 4 Sorbonne.
Ses écrits – consacrés au design graphique, à la typographie et à leur relation aux arts visuels – sont principalement édités dans des livres, des catalogues d'exposition, des ouvrages collectifs, des revues spécialisées ou sur des sites internet. Certaines de ses publications sont traduites en anglais, allemand, espagnol, néerlandais, portugais ou chinois. Elle a été co-commissaire de l’exposition Massin, organisée à l’EnsAD en 2007.
Sa thèse de doctorat est éditée par Flammarion en français et en anglais sous les titres Graphisme, Typographie, Histoire, et Typography and Graphic Design. From Antiquity to the Present (préfacés par Serge Lemoine et Ellen Lupton). Ce travail a pour origine son mémoire de fin d’études de l’EnsAD, consacré à la typographie du XXe siècle.
Dans le domaine de la création graphique, elle a travaillé dans l’édition, l’identité visuelle, le multimédia, la signalétique et le fiduciaire – pour le Louvre, les éditions Autrement, le musée de La Poste, l’Imprimerie nationale ou le ministère de la Culture. Elle poursuit des créations libres en typographie et photographie.
Elle a effectué un double parcours scolaire et universitaire pour se former à la création (typo)graphique puis à la recherche. Cursus scolaire : École nationale supérieure des Arts Décoratifs, Atelier National de Recherche Typographique, École Supérieure Estienne. Cursus universitaire : universités Paris 4 Sorbonne (doctorat d’Histoire de l’Art), Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Paris 3 Sorbonne-Nouvelle.
Distinctions pour la recherche menée pour l’ouvrage Graphisme, Typographie, Histoire : Médaille de la Ville de Rennes 2009, Prix La Recherche 2007 (CNRS / La Recherche, mention « Sciences de la communication et technologies de l’information »), Prix André Ferran 2005 (Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse).

Sélection de publications :

Livres :
Graphisme, Typographie, Histoire, préface de Serge Lemoine, Flammarion, Paris, 2005

Typography and Graphic Design. From Antiquity to the Present, préfaces d’Ellen Lupton et Serge Lemoine, Flammarion, Paris, 2006

Préface :
« Optique et cinétique. Signes sonores » / « Optics and kinetics. Sound signs », in Niklaus Troxler, Pyramyd, Paris, 2007

Ouvrages collectifs, catalogues d’exposition :
« …visible, legible, illegible : around a limit… », in Visible writings. Cultures, forms, readings, actes de colloque (Rutgers, Université Paris 8), dir. Marija Dalbello et Mary Shaw, Rutgers University Press, 2011

« La piste de l’écriture : lettres et fragments d’inscriptions », in Disques et sémaphores. Le langage du signal chez Léger et ses contemporains, dir. Arnauld Pierre, cat. exp., Musée national Fernand Léger, Biot, 2010

« Alphabet socio-politique : l’emprise des signes », in Jacques Villeglé. La Comédie urbaine, dir. Sophie Duplaix, cat. exp., Centre Pompidou, Paris, 2008

« L’Art de l’affiche », « Typo-photo-graphie », « Graphisme multiforme », « Graphisme numérique », in L’Art moderne et contemporain. Peinture, sculpture, photographie, graphisme, nouveaux médias, ouvr. coll., dir. Serge Lemoine, Larousse, Paris, 2006

« Typographie & graphisme. Dissemblances, dissonances… Disconvenance ? La France en marge de la “révolution typographique” », in Le Bauhaus et la France. 1919-1940, dir. Isabelle Ewig, Thomas W. Gaehtgens et Matthias Noell, ouvr. coll., Akademie Verlag, Centre allemand d’histoire de l’art, Berlin, 2002

Revues, magazines :
« Typographie arborescente. Mutations des années 2000 », in Revue de la Bibliothèque nationale de France n° 43, « Graphisme et création contemporaine », à paraître en mars 2013

« Cassandre • Tschichold. Deux conceptions de la création (typo)graphique européenne des années 1920 et 1930 », in Les Cahiers du Musée national d’art moderne n° 89, Centre Pompidou, Paris, automne 2004

« Design graphique et typographie. Entre information objective et expérimentation » / « Graphic design and typography. Information, art, experiment », in Typografische Monatsblätter. RSI. SGM n° 5-6, novembre 2001

Benoît Montigné est concepteur multimédia pour des institutions culturelles, parmi elles le Théâtre national de la Colline, l’Ircam-Centre Pompidou ou la Gaîté Lyrique.

Il enseigne le multimédia à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs depuis 2005 et est intervenu dans différentes écoles telles que Paris 8, l’ENSCI, Sciences Po ou l’ECV. Il est doctorant en esthétique, sciences et technologie des arts au sein du laboratoire TEAMeD / AI-AC de l'Université de Paris 8, il y mène une activité de recherche et de création axée sur l'étude des relations interactivité / image / son. Il a fondé dans ce contexte le site Sonore Visuel, dédié à l’actualité et à l’histoire des arts audiovisuels. Il est également depuis 2015 chargé de cours magistral en arts sonores à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3.

Voir aussi 

https://www.sonore-visuel.fr

Edition
Design graphique
Expression plastique
Photographie contemporaine
Ensad 1982
Bac Scientifique 1977

Enseignement ENSAD ;
Regard et réflexion entre pratiques et expérimentations, dans les champs croisés du Design Graphique, de l’image imprimée et de la photographie.

Parcours hors ENSAD :
Plasticien photographe
(expos depuis 1984, Palais de tokyo / Centre National de la Photographie / galeries et publications en catalogues)
parallèlement conception d’éditions, chartes, et de collections pour des événements culturels (théâtre / musique contemporaine – Ircam / musique et opéra – expositions et vente (collection André Breton / Piasa)
Poursuite d’une recherche entre estampe et photographie depuis et pour longtemps…

Enseignant en Design Objet.

Formation :

• 1978 / 1979 apprentissage du dessin à l’école boule à Paris
• 1979 / 1982 CAP de sérigraphie et CAP de dessin publicitaire au lycée Corvisart Paris
• 1982 / 1983 atelier préparatoire Lecomte à Paris
• 1983 / 1986 diplômé de l’ENSAAMA (Olivier de Serre) section architecture intérieure
• 1986 / 1987 spécialisation en section mobilier à l’ENSAD.

Références :

• 1988 / 1993 En 1988, travail en indépendant, création de ZEUGMA (design intérieur, design objet, prototype).

Enseignant technique à l’EnsAD (école des Arts Décoratifs de Paris) en section mobilier.
Clients principaux : Galerie « Via » à Paris, « En attendant les Barbares », « Artistes et Modèles Edition », mobilier du bar « le Forum » à Paris La Madeleine, cup à cocktail pour Campari, mise en volume du logo M6, tables en résine boutique ELLE, produit de plage Phas pour Loréal, prototypes pour Starck : vase Royalton, lampe Sisi, tabouret Bubu 1er…, maison ossature bois, agrandissement de maison, stand pour le Figaro magasine.

• 1993 / 1998 En 1993 création de « des choses et d’autres » sarl.

Enseignant à l’EnsAD, intervention au lycée de Péronne, à l’IAV d’Orléans, aux Arts Déco de Limoges.
Design et fabrication de luminaires, veilleuses, vases et objets de décoration, présent sur les salons professionnels : Maison et Objet / Now design à vivre et salon du meuble / le Phare.
Clients principaux : Fauchon, The Conran Shop, Le printemps, Les Galeries Lafayette, Face à Face, Trophées Dico d’Or de B. Pivot, Yves Saint Laurent…

• 1998 / 2003 En 1998 déménagement de l’entreprise à La Rochelle.

Création d’une collection de présentoirs à lunette destinés aux opticiens et présent sur le salon de l’optique le Silmo à Paris.
Enseignant à L’EnsAD, intervention à l’Académie Charpentier de Paris, chambre de commerce de La Rochelle. Clients principaux : Lunettes Y. Cogan et F. Beausoleil, Rip Curl, Billabong, Thierry Mugler, Van Cleef, Moma de New York, Club Med, Cartier, Bacarrat …

• 2003 / 2005 En 2003 construction de nouveaux locaux adaptés à l’entreprise, déménagement en juillet 2004. Novembre 2004 destruction totale de l’entreprise par un incendie accidentel. En 2005 réorganisation de l’entreprise, maintien de la conception d’objet/espace à La Rochelle.

A l’EnsAD, fusion de la section mobilier et design, enseignant en 2ième année pour un cours intitulé : « couleur matière lumière » et suivi des projets pour la 3ème, 4ème et 5ème années.

• 2006 / 2010 En 2006 nominé au Silmo d’or dans la catégorie environnement produit.

Enseignant à l’école PIVAUT à Nantes (2006 / 2011), en 2ième et 3ième année design d’espace.
Clients principaux : Charles Jourdan, Optique 2000, meuble Ch. Pillet, champagne Ruinart, projet d’aménagement privé, champagne Perrier-Jouet, Féau Paris, Issey Miyaké, Trophées divers, mur peint, sculpture pour le SDIS 17, mobilier et luminaire en méthacrylate…

• 2010 / 2014 En 2010 nouveaux locaux pour « des choses et d’autres ».

Travaux de réalisation d’oeuvres pour Philippe Daney Factory, sculptures en collaboration avec François Canté Pacos, commande de Grégoire Solotareff pour L’Abbaye de Fontevraud ….
Clients principaux : Adhoc Design, Malherbes Design, chaussures Roger Vivier, support à bijoux Dinh Van, collection de miroir pour Plastim, grip pour X Composites arc de compétition ……

Designer et chercheur, l'enseignement de Martin De Bie gravite autour des cultures et pratiques numériques en lien avec ses recherches personnelles. Celles-ci se focalisent sur l’hybridation entre savoir-faire artisanal et nouvelles technologies avec l’ambition d’esquisser des scénarios plus résilients pour les objets technologiques de notre quotidien, en résonance avec les enjeux environnementaux actuels. Il est également le co-fondateur de DataPaulette, collectif explorant les interconnections potentielles entre pratiques textiles et procédés numériques. Concentré spécifiquement sur le process, Il attache une attention particulière à la documentation de son travail et à la porosité entre celui-ci et son enseignement, évoluant et se nourrissant mutuellement.

Formation et titres universitaires

Diplômée de l’ENSCI les ateliers / Ecole Nationale Supérieure de design Industriel

Florence Doléac est née en 1968 à Toulouse. Elle est diplômée de l’ENSCI / Les Ateliers en 1994 ; elle co-fonde en 1997 la société du groupe RADI DESIGNERS avec Laurent Massaloux, Robert Stadler et Olivier Sidet ; c’est une collaboration intense et fructueuse.
Depuis 2003, Florence Doléac poursuit ses projets seule. Tout en enseignant à l’ECAL-Ecole cantonale d’Art de Lausanne, de 2000 à 2009 puis à l’Ecole de Arts déco de Paris depuis 2006, elle répond à des commandes et produit des expositions en galeries et dans des centres d’art ; elle est représentée par les galeries Aline Vidal de 2002 à 2008, Toolsgalerie de 2004 à 2007 et Jousse-Entreprise depuis 2006, et expose à la Locksgallery à Philadelphie depuis septembre 2012.
C’est justement dans cet espace interstitiel dans lequel le design dialogue avec l’art et où ses modalités de présentation et de production oscillent entre un dispositif marchand et institutionnel que Florence Doléac inscrit son travail. La revendication de cette position peu commune lui confère une identité particulière. En effet, non seulement Florence Doléac met en jeu une tension entre la production et l’exposition, avec des réponses pleines d’humour et de poésie, mais elle déploie en plus un questionnement sur la fonction et son pendant : l’inutilité.

Exposition Solo
2003
/ DIVAGATIONS, Villa Noailles, Hyères / 2004
/ FLOGISTIQUE, Galerie Aline Vidal, Paris, avec l’Aide à la Première Exposition de la D.A.P., Ministère de la Culture  / EXPOSITION, ToolsGalerie, Paris / VAGUE À L’ÂME, tapis réalisé en Iran, Parsua, Paris
2006
/ TAC TIC, MUDAC, Lausanne / EXPOSITION, dans la boutique OWN, Bruxelles
2007
/ INTÉRIEUR POUR ANIMAL À DEUX PATTES, Galerie Philippe Jousse, Paris
FLOATING MINDS & STATIC DANCING, de Stephane Daflon, Frac Aquitaine, Bordeaux
2008 /
ONCE UPON A TIME, poignée de porte, Galerie des multiples, Paris / VA CHERCHER ! Biennale de Liège, Musée de zoologie, Liège / 2009
/ BALLOOON, salon de lecture d’haiku, dans la nouvelle boutique d’Issey Miyake, Paris
/ GARBAGE SALOON, exposition hommage à Michel Houellebecq, à la galerie Jousse-entreprise à l'occasion de la sortie de l'ouvrage d'Esther Henwood, Design & Littérature, aux éditions Norma, Paris / 2010
/ ADADA, CIAC, Pont aven / 2011
/ POM POM DUST, galerie Jousse-entreprise, Paris
NOYEUX JOËL, Micro-onde, Vélizy-Villacoublay / 2012 / THE WAY THINGS ARE, invitée avec Ula von Brandenburg & Virgil Marti, Locks gallery, Philadelphia

CATALOGUES
TAC TIC, Florence Doléac/mudac/Birkauser & mudac/infolio
designer&design/ Florence Doléac/PYRAMYD

COLLECTION PUBLIQUE
2003 
FMAC, FOND MUNICIPAL D’ART CONTEMPORAIN, acquisition de « Passages » et « La chaise mise à nu », Paris / 2004 / ARTHOTHÈQUE DE CAEN, acquisition de « Piétinoire », Caen / 2008
/ FRAC Iles de France, acquisition de « Professeur Tournesol », Paris / FNAC, FOND NATIONAL D’ART CONTEMPORAIN, acquisition de « Polybulb », « Piétinoire », « Table-valise » / 2009
/ FNAC, FOND NATIONAL D’ART CONTEMPORAIN, acquisition de « Naufragés sur lit de moquette » / FRAC AQUITAINE, Floating minds, co-produit avec la galerie Jousse-entreprise et Buyself / 2011 / FNAC, « Peau d’housse II », réalisée avec Gaspard Yurkievich

BOURSES
2001 
AFAA, Villa Kujoyama, pour le développement du revêtement de sol « Stimulisol », Kyoto / 2003 / 
AIDE A LA PREMIERE EXPOSITION, DAP, avec la galerie Aline Vidal, Paris
/ 2005
 / CRITT CHIMIE, Centre régional d’innovation et de transfert de technologie pour le projet « Poignée molle » / 2006
/AGORA, bourse du Ministère de la culture et de la communication, pour un projet de recherche « Le corps aborbé », Paris / 2007
APPEL SPECIFIQUE DU VIA, pour « Automomie à domicile », pour le projet Stimulisol.

PRIX
2006 
LES GLOBES DE CRISTAL, lauréate du prix de la presse et la culture, Paris

CLIENTS
La Villa noaïlles, Issey Miyake, Vilac, le Musée des Arts Décoratifs, La Maison de la vache qui rit, Van Cleef & Arpels, Häagen-Dazs, Zoo Galerie, Mumo/ Ingrid Brochard, Baby disco…

Ingénieur de l’École des Arts & Métiers, Alexandre Fougea crée en 2003, alors encore étudiant, la marque Akonite. Il conçoit alors des skis en matériaux composites pour les compétiteurs internationaux. En parallèle, Alexandre Fougea travaille pour des entreprises dans le domaine de l’aéronautique et du nautisme.

En 2008, Alexandre décide avec sa société de se consacrer à part entière au développement de nouveaux produits. Parmi ses clients, on compte Balenciaga, Louis Vuitton, Bell&Ross, Jean-Paul Gauthier, Courrèges, Les Galeries Lafayette, Patrick Jouin, Mathieu Lehanneur, Le Plaza Athénée, EDF, Citelum, Véolia, Dassault…

Depuis 2009, Alexandre Fougea enseigne le design objet à l’EnsAD.
En 2013, Alexandre Fougea développe et commercialise sous sa marque Akonite une série limitée de 12 skis de neige éco-conçus cosignés avec l’artiste plasticien Xavier Veilhan.

Animé par une vision composite de la matière et du projet, Alexandre, aujourd’hui ingénieur-designer, mêle intimement design et ingénierie dans l’ensemble de ses travaux. Son studio de design et de conception est installé à Paris.

BAC A3 arts plastiques
EnsAD, diplôme secteur mobilier
EnsAD, post diplôme, mobilier

Enseignant & coordinateur design objet
Institut d’Arts Visuels, Orléans de 2004 à 2009.

Enseignant en design et morphostructure
École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, Paris depuis 2006.

Salarié de l’agence O’design -2002- 2002 (dossiers traités : Minelli, graphisme, T-Mugler graphisme et mobilier, Maison et objet signalétique, aéroport de paris architecture intérieure...)

Design : « De terre et d’eau», céramiques, moyenne série.

Design, mobilier pour Procédé Chenel Internationnal.

Publication «Guide de l’improvisation Jazz à la batterie », graphisme et co-signature avec  Bertrand Renaudin , projet en cours d’édition.

Design : « Drôles d’objets domestiques » , bestiaire typologiques,  projet de recherche.

Design Produit d’éclairage, Martinelli luce.

Roman graphique,«Nous aurions pu être», pojet en cours.

Design global, identité boutique pour Lise Charmel Internationnal.

Signalétique et mobilier, Chateau de Tacy, Monuments Nationnaux.

Design , tapis 4 seasons , Chevalier édition.

Micro-architecture commerciale, Photopointcom/Les Vedettes de Paris.

Expositions : Maison et Objet, Salon du meuble, Paris, Milan
galerie Luc Queyrel, Gallerie lafayette, Lazer.

Sophie Larger, designer et doctorante SACre PSL.

Sophie Larger est designer et enseignante à l’Ensad. Elle explore divers domaines, allant de la recherche en design à l’installation artistique, en passant par la création d’objets. Depuis 2015, elle travaille sur des projets de design appliqué aux unités de soins. Depuis 2019, elle mène le projet de recherche en design intitulé « Ré-confort : esthétique et design tactile de l’apaisement en milieu psychiatrique ». En 2023, elle a conçu deux espaces d’apaisement en collaboration avec les patients et les soignants, résultat d’expérimentations pratiques, de dialogues et de retours d’expérience avec les usagers. Elle travaille avec plusieurs unités hospitalières : à l'UHSA Paul Guiraud (Villejuif), à l'EPS Ville-Evrad (Aubervilliers) et au GHU Paris (en lien avec le Lab-Ah). Elle est actuellement doctorante en design au sein du laboratoire de recherche SACRe_PSL, à Ensadlab (groupe Symbiose), depuis octobre 2022.

Responsable V.I.A. Multimédia pour le VIA / Valorisation de l’innovation dans l’Ameublement de 1984 à 1995 / Mise en place des différents projets liés à l’innovation à la Recherche et aux nouvelles technologies. Responsable des maisons du futur pour le Salon Habiter à la Villette de 1986 à 1990, Cofondateur du Phare au Salon du Meuble de Paris de 1998 à 2002 avec Jean-Claude Maugirard et Gilles de Bure. Conseiller artistique pour le Groupe Galeries Lafayette de 2003 à 2005. Depuis 1996, différents projets pluridisciplinaires pour LASER - Lafayette Services auprès de Philippe Lemoine/président et pour les Galeries Lafayette, Monoprix, BHV, Télémarket, l’Echangeur, Le Forum Modernité, Sony France, les Industries Françaises de l’Ameublement, le Phare, VIA, le Salon du Meuble de Paris (L’Ecole française, French Line ) EnsAD etc.

Professeur et coordonnateur de design à l’I.A.V. d’Orléans (Gérard Baudoin directeur) de 1984 à 2004 et enseignant dans le  DESS des Industrie du Luxe et des Métiers d’Art de 1992 à 2002 (Danielle Allérès directrice)  avec des modules sur le Design à l'Université de Marne la Vallée puis à Paris Sorbonne.

Patrick Renaud est enseignant et coordonnateur du secteur Design objet à l'École.

Diplômée de l'ENSAAMA et des Arts Décoratifs, en design textile, Lauriane Beaunier a tout d’abord travaillé dans l’industrie automobile puis dans le domaine de l’équipement de sport en tant que designer textile, couleur et matière.
Elle enseigne à l’École des arts décoratifs depuis 2013 tout en s'investissant dans différents projets dans le cadre de son studio de création, Excla.

Elle a développé une capacité d'écoute et d'analyse qui nourrissent une approche transversale et décloisonnée du design, via la couleur, la matière et le graphisme.
Elle impulse ainsi les projets en construisant leurs directions artistiques et en répondant aux problématiques variées qui lui sont proposées.

Cela l'amène à évoluer dans différents domaines, à différentes échelles, pour des clients français et internationaux : de l’objet au textile, de l’accessoire de mode aux matériaux décoratifs, l'espace et l’architecture d’intérieur, le territoire… C'est ainsi que l'étagère Pace qu'elle a dessiné avec le designer Aurélien Veyrat est rentrée dans les collections du Mobilier National en 2021 alors qu'elle était en train de concevoir avec lui 1000 m2 de bureaux pour Lille Grand Palais.

Depuis, elle a été soutenue par le Ministère de la Culture dans le cadre de l'appel à projet Mondes Nouveaux, pour son projet Nuances littorales.
Avec 4 anciens diplômés du secteur design textile et matière, elle a cherché à mettre en valeur le patrimoine naturel et architectural par le prisme de la couleur et la matière. Un projet qui se développe depuis...

Aurélie Mossé, PhD, est une designer, chercheuse et enseignante travaillant à l’intersection du design textile, de l’architecture et des nouvelles technologies. Co-directrice du groupe de recherche Soft Matters à l'Ensadlab, enseignante dans les départements design textile & matière et design vêtement de l’EnsAD, sa pédagogie se concentre sur l’initiation à la recherche ancrée dans la pratique du design, principalement (mais pas exclusivement) appréhendée par le prisme de la création textile, matériaux, surfaces.

Ancrée dans la culture du projet, cette pédagogie résolument expérimentale place en son coeur l’articulation entre initiation aux principes de design écologique et appropriation de nouveaux matériaux et technologies contemporaines au regard des enjeux de sociétés actuels et à venir. Ses intérêts principaux de recherche résident dans le design de matériaux actifs, l’architecture textile et la construction d’un habitat plus résilient. Son approche est ancrée dans la pratique du design. Elle place le prototype au centre de la recherche, s’incrit dans une démarche prospective, résolument collaborative et interdisciplinaire, privilégiant le dialogue entre design, science et industrie. Elle a contribué à des conférences , expositions et publications internationales dans le domaine des matériaux intelligents, de l’architecture, et de l’artisanat numérique. Son travail exlore plus particulièrement la création de textiles tridimensionnellement dynamiques pour l’environnement maison. Dans « Gossamer Timescapes: Designing self-actuated textiles for the home » (2015), elle questionne notamment comment les textiles actifs peuvent façonner de nouvelles perspectives culturelles et poétiques plus durables pour les technologies dites intelligentes dans un contexte architectural.

Publications (sélection) :

• Mossé, A., 2018, ‘Gossamer timescapes: a design-led investigation into electro-active and light responsive textiles for the home’, In: Smart Materials & Structures, EuroEAP 2017 special issue, juillet 2018.
• Mossé, A., 2018,‘Préface’, ‘Les espaces du voile’ et ‘Changer de peau: habiter autrement’ In Partouche, M., Bouvet, V. (eds.) 2018, Profanations Textiles: Ensad/SCAU, France: EnsAD
• Mossé, A., 2017, ‘Contes gossamériens : revisiter le paysage temporel de la maison par les textiles tri-dimensionnellement actifs’, In: Actes de colloque, journée d’étude de l’AFET 2016 on Architecture et Textile: Aménager l’espace, 2017 pp.49-59.
• Mossé, A., 2016, ‘Self-Actuated Textiles: Designing the Home as an Interconnective Timescape’, In Schneiderman, D., Griffith Winton, A.; 2016, Textile Technology and Design: From Interior Space to Outer Space, London: Bloomsbury Academics, chap.11, pp.121-133.
• Mossé, A., 2014, ‘Smart materials: designing a timescape of interconnectivity for more resilient practices of inhabitation’,In: Kretzer, M., Hovestadt, L., 2014, Alive – Advancements in Adaptive Architecture, Basel:Birkhaüser, pp.86-91

Enseignante.

Expositions (selection):
Musee d'Art Moderne, Ville de Paris
Centre Pompidou, Paris
School Of the Arts Institute of Chicago
Institut français de Naples
The Blue Star, San Antonio
Lab Gallery New York
The Taubman Museum Virginia USA

Formation:
Ecole Normale Supérieure,Cachan
Masters Of Fine Arts Yale University USA
Institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques, Paris
DEA, Arts Plastiques Paris 1

Gilles Rosier est enseignant et coordonnateur du secteur Design Vêtement à l'École.

A publié une trentaine d'ouvrages à ce jour dont :
- Tout un monde, avec Antonin louchard, Editions Thierry Magnier, 1999.
- Tout un Louvre, avec Antonin Louchard, Editions Thierry Magnier / Musée du Louvre, octobre 2005.
- Dictionnaire fou du corps, Editions Thierry Magnier,2012.

Depuis 1990 création de l'atelier de création graphique "jour ouvrable"

Design graphique et communication visuelle, affiche et campagne  de communication, logotype, typographie, et édition pour des institutions et grandes entreprises - (Ministère de la culture et de la communication, Musée national Jean-Jacques Henner, Groupe BNP Paribas, CCIP, groupe ESCP-EAP, HEC, Première Vision, Ville de Nantes…)

1990 - diplômé AII (atelier d'images informatiques)

diplômé EnsAD 1989 - Graphisme

Enseignante en gravure.

Mathew Staunton est un historien-chercheur et éditeur qui a une longue expérience de la linogravure.

Il a suivi sa formation initiale de premier cycle, sa formation d'enseignant et effectué ses premières recherches de Master (en histoire de l'illustration) à Dublin, où il a grandi. Il a poursuivi ses recherches de troisième cycle à Paris, avec un Master et puis une thèse de Doctorat sur l’édition de journaux nationalistes et la conception de caractères typographiques gaéliques.

Au cours de la dernière décennie, il a développé en parallèle une pratique historiographique et artistique autour de la représentation de la maltraitance des enfants. En 2012, il fonde The Onslaught Press à Oxford, spécialisée dans la poésie, le haïku et la langue irlandaise. Il est actuellement membre du comité de rédaction de la revue universitaire Études Irlandaises et membre la Société Française d'Études Irlandaises (SOFEIR).

Dans le secteur Image Imprimée, il enseigne principalement la méthodologie de recherche ainsi que la présentation et communication de projets plastiques.

Fonction : historien, éditeur, encadrement de la recherche, enseignement de la méthodologie. Référent du secteur Image imprimée.

Photographe. Auteur de plusieurs livres, dont Tavastia, Eden ou Les Passagers, chez Le Point du Jour et La Montagne aux éditions Loco.

Ses images figurent dans diverses collections publiques et sont régulièrement montrées en France et à l'étranger : 779 (Paris), Musée d'Art Contemporain (Lyon), Centre photographique de Clermont-Ferrand, Centre Régional de Cherbourg-Octeville, Photographers' Gallery (Londres), Finnish Museum of Photography (Helsinki), Boxgalerie (Bruxelles), Musée de la photographie (Anvers), Bloo Gallery (Rome), Centre de la photographie (Genève), Fremantle Arts Centre (Australie)…

ormation et titres universitaires

- DEA - Nouvelles technologies de l’information, IMAC, Paris II (1997)
- DNSEP - Art, Villa Arson, Nice (1995)
- BAC - Sciences de la nature, Cannes (1989)

Représenté par :
Galerie Air de Paris, Paris (France)
Team Gallery, New York (USA).

Collections en France :
FRAC, Fonds Régional d'Art Contemporain, Alsace, France |22|
FNAC, Fonds National d'Art Contemporain, Puteaux, France |9|17|23|
FRAC, Fonds Régional d'Art Contemporain, Poitou-Charentes, France
FRAC, Fonds Régional d'Art Contemporain, PACA, France |X|
NMNM, Principauté de Monaco |23|29|

Collections Internationales :
MoMA, Museum of Modern Arts, New York, USA |X|
Sammlung Goetz, Munich, Allemagne |17|
Bambi Foundation, Tel Aviv, Israël |22|

Bourses :
Fonds d'incitation à la création, FIACRE (DAP), 1997, France
Fonds d'incitation à la création, FIACRE (DAP), 2003, France
CNC - dispositif pour la Création Artistique Multimédia (DICRéAM), Maquette, 2005, France
CNC - dispositif pour la Création Artistique Multimédia (DICRéAM), Production, 2006, France
Culturesfrance / hors les murs, 2008, Los Angeles (3 mois), CA, USA

Monographie :
Brice Dellsperger - Body Double / Marie Canet - Posture et talons hauts, Toastink Press, les presses du réel (Fr), 2011
Brice Dellsperger - Body Double / Marie Canet - Posture and High Heels, Toastink Press, Sternberg Press (Eng), 2011

Expositions personnelles :
2014
The Complete Body Double, Team Gallery, New York, USA
2013
Bons baisers d’Hollywood, Air de Paris, France |26|27|28|29|30|
Like Mirror, avec Natacha Lesueur, Transpalette, Bourges, France (cur. D. Sausset)
2012
Art Unlimited (Air de Paris/Team Gallery), Bâle, Suisse |27|
2011
Brice Dellsperger & Jean-Luc Verna, FRAC Alsace, Sélestat, France (cur. O. Grasser) |22|23|26|
Brice Dellsperger / Jean-Luc Verna, Sala Verónica, La Conservera, Murcia, Espagne (cur. Pablo Del Val) |9|15|22|27|
Refreshing Fassbinder... And Kubrick... , Team Gallery, New York, USA |22|23|27|
2010
More Body Doubles, Air de Paris, Paris, France |22|23|
2009
Body Double, Kunstbunker, Nürnberg, Allemagne |14|17|18|19/20|21|23|X| 2007
Ikiz Beden, Akbank Art Center, Istanbul, Turquie (cur. A. Akay) |4|5|8|9|10|13|15|19/20|FT|
2006
Body Double, Air de Paris, Paris, France |21|
2004
Body Double 18, Team Gallery, New York, USA |18|
Video Works, Sketch, Londres, UK (cur. A. Pollazon) |13|17|16|
2003
Gallery Lisa Ruyter, Vienne, Autriche |16|17|
Air de Paris, Paris, France |16|18|
Obsession, Le Studio, Galerie Yvon Lambert, Paris, France |2|10|
Anderson Gallery, Des Moines, Iowa, USA (cur. Cira Pascual Marquina) |15| Midway, St. Paul (avec Jean-Luc Verna), USA (cur. John Rasmussen) |17|X|

Articles (sélection) :

Lise Guéhenneux, Brice Dellsperger et Natacha Lesueur, in Labellerevue.org, chronique du mois, mai 2013
Leslie Riggs, Ateşli Mahluklar: Üçüncü Cins, in GençSanat, N°200, 12/2011, pp. 27-33
Mickaël Pierson, Body Double : aux frontières du réel, in Chimères "Devenir hybride", N°75, automne 2011
Annika von Taube : XX-XY, in sleek, autumn 2011, p. 97, p. 222
Sergio Rubira, El sujeto que actúa, in EXIT Express, N°59, junio-julio 2011, pp. 52-53
Valérie Paille, Megalo Art - Me, myself and I!, in Tracks, Arte TV, mardi 08 mars 2011
Elisabeth Kley, Multiplicity of masks, in www.artnet.com, 04.02.11
Ihana Gabriel, Un parcours artistique tape à l’œil et à l’oreille, in 20minutes, 1er octobre 2010
Alain Berland et Valérie Da Costa, Trans-Obsession, in Mouvement, N°56, juillet-septembre 2010, pp. 142-145
Clara Schulmann, "Nothing rings a bell?", Brice Dellsperger, Body Double 22, in May, N°4, 06/2010, pp. 187-197
Cécilia Bezzan, Expositions, in Art Press, N°367, mai 2010, p.89
Emmanuelle Lequeux, Galeries, in Le Monde, 14.03.10, p. 22
Julia Langbein, Critics' Picks, in artforum.com, mars 2010
Elisabeth Lebovici, Des Body-Doubles de choix: Dellsperger chez Air de Paris, in le-beau-vice.blogspot.com, 23.02.2010 Nicolas Heimendinger, More Body Doubles, in paris-art.com, 02.2010
Carine Soyer, Initiales BD, in artnet.fr, 8 mars 2010
Stéphane Delorme, Brice de Palma, in Cinéma en numérique : De Brian de Palma à Brice Dellsperger, supplément festival d’Automne, in Cahiers du Cinéma, N°628, novembre 2007, p.13
Marie Darrieussecq, Body Double X, in Beaux-Arts Magazine, N°278, août 2007, p. 52-53
Le Top 10 2006, in Technikart, décembre 2006-janvier 2007, p. 118
Détournements majeurs, in Dernières Nouvelles d’Alsace, 14 décembre 2006
Charles Barachon, in Spike, N°8, sommer 2006
Marie Cozette, in Tema Celeste, N°116, Juillet-Août 2006, p.80
Charles Barachon, Art Selector, in Technikart, mai 2006, p.98
Françoise-Claire Prodhon, L'art en tête, in AD, N°57, mai 2006, p.54
Jean-Max Colard, Move your body, in Les Inrockuptibles, N°547, du 23 au 29 mai 2006, p. 76

Photographe et plasticienne. Lauréate du Prix Fondation d’entreprise Ricard elle fût résidente à la Villa Médicis en 2002-2003.

Son travail se développe en réaction à la multiplication d’images-modèles véhiculées par les médias.
Le corps, et les identités  genrées sont ses sujets de prédilection

Enseignante.

BAC
DNSEP

PROFESSEUR  2° catégorie

Enseignante Arts plastiques à l’Ecole d’architecture de Paris Val-de-Seine
Enseignante Photo/Vidéo à l’Ecole des beaux-arts de Gennevilliers

Workshop: Ecole des beaux-arts de Montpelier, Ecole des beaux-arts de Cergy-Pontoise,
Ecole des beaux-arts de Quimper…
Conférences: Ecole des beaux-arts de Paris, Ecole des beaux-arts de Lyon…
Jury: Ecole des beaux-arts de Paris, Ecole des beaux-arts de Cergy-Pontoise, de Toulouse...

2010 / 2013
EXPOSITIONS
Till the end, Galerie In Situ, Paris, France (Solo show)
Drink in park, CRAC de Sète, France (Solo show)
Des images comme des oiseaux, Commissariat Patrick Tosani, La Friche Belle de Mai, Marseille
Nessun oggetto è innocente, Les Pléiades FRAC Corse, Corte
Nuit Blanche 2013, Paris

PUBLICATIONS
P.Joly, «Florence Paradeis & Sylvain Rousseau», Revue 02 N°53, P.62, printemps 2010
C.Francblin, «Exposition: Crac de Sète», Artpress N°366, P.89, avril 2010
Auto Focus, l’autoportrait dans la Photographie Contemporaine, Susan Bright, Editions Thames & Hudson 2011

Marie Voignier est artiste et cinéaste. Après avoir pratiqué la photographie, elle étudie à l’école des beaux-arts de Lyon. Son travail se concentre depuis sur la réalisation de films. Marie Voignier s’intéresse avant tout à des réalités nouées, à des histoires complexes où se mêlent plusieurs vérités. Son approche problématise non seulement la constitution même de la réalité et ses médiations compliquées, mais aussi la position de l'observateur, qui fait toujours déjà partie de la mise en scène. Jouant sur des glissements troubles entre documentaire et fiction, elle cadre des situations où le réel emprunte soudainement les chemins de l’artifice, que ce soit au sein de l’industrie des loisirs, des médias de masse, des sciences plus ou moins occultes ou du monde du travail.

Elle a notamment réalisé Moi aussi j’aime la politique (FID, 2022), Na China (Visions du Réel 2020 ; Singapore biennial 2020), Tinselwood (Berlinale, 2017 ; Centre Pompidou, 2018 ; LAXART, 2019), Les Immobiles (Biennale de Venise, 2017). Son travail est représenté par la galerie Marcelle Alix. Elle enseigne à l’école nationale supérieure des arts décoratifs de Paris depuis 2022.

Après des études en Architecture, Elise Capdenat a été diplômée de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs en Scénographie (1993). À l’occasion d’une année en résidence à la Villa Médicis à Rome (1996/1997), Elle publie le livre Circo Massimo-Sette Sale X2 en collaboration avec Anne Attali en 1998.

Depuis 1995, elle collabore avec Eric Didry à la fois pour ses créations (Boltanski / interview en 1995, Récits / Reconstitutions en 1998, Non ora, non qui en 2002/2003, L’oppoponax en 2005, la loi du marcheur avec Nicolas Bouchaud en 2010) et de nombreux cycles de formations (stage AFDAS, Ecole du TNB).

En 2004, Elle a conçu et réalisé la scénographie de la boutique Dover Street Marquet de Comme des Garçons à Londres.
De 2003 à 2010, Elle a participé aux créations et aux périodes de recherche de Sylvain Prunenec (Effroi en 2003, Redoux 2004, Lunatique 2006, About you 2007, résidence « in-situ» à Bagnolet en 2009/2010, bourse du CND)
Depuis 2009, elle collabore avec Thierry Collet sur ses spectacles « de magie politique » : influences mise en scène par Michel Cerda (en 2009) et Qui-Vive mise en scène par Eric Didry (en 20012).
Elle explore  l’Opéra avec Antoine Gindt : Ringsaga (la tétralogie de Richard Wagner) crée en 2011 puis Aliados (opéra contemporain de Sébastien Rivas) en 2013.
Elle collabore également aux nouvelles créations de Nicolas Bouchaud : Paroles d’acteurs  (Festival d’Automne, Oct 2012), le projet Lucioles (Avignon en 2013).

Né à Marseille en 1976, il vit et travaille à Paris. Plasticien, vidéaste et scénographe, Patrick Laffont-DeLojo développe son travail « au plateau » au plus près des interprètes.

Très sensible à la performance, à la danse contemporaine et au théâtre, il trouve dans la photographie, puis, plus encore, dans l’art vidéo un saisissement de l’instant qui résonne avec l’immédiateté et la vulnérabilité du corps sur scène. Il collabore depuis 2004 avec Cyril Teste au sein du collectif MxM et depuis 2017 avec Frederique Aït-Touati et Bruno Latour.

Après une maîtrise de musicologie à l’Université Paris VIII (séminaire de Daniel Charles), il a mené des études auprès du compositeur Martin Davorin Jagodic, et effectué un stage au GRM en 1987. Avec cette formation de composition et sound-design, il a été producteur et concepteur de radio (France Inter, RFI, Radio Nova de 1982 à 1988), preneur de son (TV, cinéma), et a exercé pour des expositions, théâtre, concerts (musique instrumentale, environnements sonores, performances de théâtre musical, musiques et montages radiophoniques, musiques de film, de scène, d'exposition). Il a enseigné la théorie du son et la création sonore à l’école des Beaux-Arts, de 2003 à 2010. Il a fondé et dirige deux agences de création, media et événements, l’une à Paris depuis 2005, l’autre à Pékin depuis 2007 (qui a notamment créé et publié la version chinoise de La Revue du Vin de France). En 2017, création de Leboucq Savvy Foundation en Chine, dédiée à la promotion croisée de la culture et du vin. Auteur et conférencier, il est conseiller de la revue Études et membre honoraire du comité de rédaction. Brice Leboucq est enseignant du secteur Scénographie à l'École.

Diplômé de l’Ecole Boulle et de EnsAD, Raymond Sarti conçoit et réalise des scénographies pour le théâtre (François Rancillac, Thierry Roisin, Guy-Pierre Couleau, Pierre Santini, Ahmed Madani, Catherine Anne, Alain Mollot,), pour le cinéma (Hani Tamba, Henri Colomer, Claire Simon, Jane Birkin, Dominique Cabrera, Solveig Anspach), la danse (Hela Fatoumi, Eric Lamoureux, Philippe Découfflé, Mathilde Monnier), la musique et le cirque. IL est régulièrement sollicité pour concevoir la muséographie d’expositions importantes en France et à l’étranger (Nouveau jardin botanique de Bordeaux, Grande Halle de La Villette, Cité des sciences et de l’industrie, Pont du Gard, Centre Pompidou, Nagoya Dome au Japon, Grimaldi Forum à Monaco, Marseille 2013 Capitale culturelle européenne…).
Il enseigne la scénographie à l’école depuis 2005.

Diplômée en scénographie à l’École des Arts Décoratifs de Paris en 1995, Annabel Vergne développe depuis ses activités dans le champ de la scénographie de spectacles : pour le théâtre (Jean Boillot, Romain Bonnin, Clyde Chabot, Patricia Allio & Eléonore Weber, Gilbert Désveaux, Marie Piemontese), pour la danse (Julika Mayer, Françoise Tartinville, Benoît Lachambre et Su-Feh Lee) et pour la scénographie d’exposition (4 jardins pour le Décameron, Le père Castor, Grafica Utile, - Médiathèque François Mitterrand - Poitiers, Futurs en transmission et Globes, le Monde à portée de main - Musée des Arts et Métiers, Mémoires industrielles - Ombrée d’Anjou).

A partir de 2000, suite à une résidence à la Cité Internationale des Arts de Paris, elle développe une pratique artistique sous forme de vidéos mettant en jeu la parole et l’espace. A travers des dispositifs visuels, lumineux ou sonores, ses propositions interrogent les conditions de perception et les variations entre voir et percevoir. Elle a présenté en mai 2017 au Centre Georges Pompidou la pièce sonore «arbres ciel colline», d’après les textes de «Constitution d’un tableau» de Rémy Zaugg. Ses projets personnels ont été présentés en France au Palais de Tokyo, à l’Institut Français d’Architecture, au FRAC - Île de France / Le Plateau, au Théâtre de la Cité Internationale, au Musée Zadkine à Paris, et en Suède au Nacka Konstall.

Annabel Vergne enseigne la scénographie à l’École des Arts Décoratifs de Paris depuis 2006 et co-dirige régulièrement le département Scénographie. Elle est à l’initiative avec Roxane Jubert de l’écriture du Manifeste pour un monde soutenable de l’EnsAD (2019). Lauréate avec Quentin Rioual de l’appel à projets Recherche, Théâtre et arts associés 2021/2022 du Ministère de la Culture pour une recherche intitulée « Scénographie et écophanie. Penser la création dans un monde fini ». Deux journées d’études en décembre 2022 au Théâtre de l’Aquarium et à l’Ensad clôtureront cette recherche.

En 2021, elle co-fonde avec Quentin Rioual et Sylvie Bétard l’Augures Lab Scénogrrraphie avec 4r, afin de développer les pratiques écoresponsables de la scénographie et leur enseignement. Ce Lab réunit plus de quatre-vingt acteur·rices du secteur culturel: scénographes, membres d’institutions culturelles, de studios ou d’agences artistiques, professionnel·les de l’économie circulaire, artistes, etc. Grâce au Programme d’Investissements d’avenir 4 du SGPI - France 2030, l’Augures Lab créera l’écothèque, une plateforme collaborative pour l’écoscénographie en mars 2024. L’Augures Lab est aujourd’hui une part importante de son activité professionnelle à travers de nombreux sujets de recherche-action menés collectivement et restitués lors de journées publiques dans différentes institutions culturelles.

Cette activité infuse son enseignement au sein de l'Ecole des Arts Décoratifs.

Judith Abensour est docteure en littérature française (poésie contemporaine). Elle écrit sur l’art, le cinéma et la littérature. 
Ses recherches et ses cours portent sur les relations entre langage et économie, entre poésie et politique et sur les enjeux de la traduction. 
Elle interroge aussi la mise en espace des images au croisement de l’art et du cinéma et explore les nouvelles écritures documentaires.

Elsa Boyer est théoricienne, écrivaine et traductrice. Elle a publié un essai intitulé Le conflit des perceptions (Musica Falsa, 2015) sur la technologie, les jeux vidéo et la phénoménologie. Un autre essai sur Alan Turing, l'intelligence artificielle et les questions de genre dans le numérique est paru aux éditions Pérégrines (Turing, Pérégrines, 2023). Ces questions se déploient également à travers une écriture de fiction. Elle a fait paraître huit récits aux éditions P.O.L et MF qui interrogent, chacun à leur manière, notre environnement médiatique et numérique contemporain, la façon dont il façonne nos perceptions et affects. Le dernier en date, Grip, est paru chez MF en 2023.

Elle écrit également des textes poétiques (Laminaire, Zoème, 2023) qui cherchent à reconfigurer ou défigurer les représentations médiatiques, les langues administratives et juridiques. Elle traduit des essais, de la fiction (Heather Lewis, Le règlement, P.O.L, 2010 ; Denis Cooper, Le fol marbre, P.O.L, 2016 ; J'ai fait un vœu, P.O.L, 2022) et de la poésie (Verity Spott, Désolation, MPLH, 2021 ; CAConrad, En attendant de mourir à son tour, P.O.L, 2022 co-traduits avec Camille Pageard). À l'école des arts décoratifs elle enseigne la théorie des médias, les humanités numériques, les questions d'écriture contemporaine, et elle intervient dans le secteur Image Imprimée."

Né à Toronto (Canada). Vit et travaille à Paris.

Ses thèmes de recherche portent sur l'humanité après l'homme, la ville après l'espace public, l'architecture après le plaisir. Ses projets enquêtent sur des situations d’ambivalence, entre la guerre et la danse, entre le plaisir sexuel et le non-lieu, entre la ville et son potentiel, entre le posthumain et l’obsolescence de l’homme.

https://d-w.fr/fr/

https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Degoutin

Docteur en esthétique, philosophe, il intervient en 1ère année (Groupe 2), 2ème année (cours transversal du mardi : "L'inquiétude de la beauté"), en Cinéma d’animation et Scénographie.

Docteure en Histoire de l’art contemporain, Lucile Encrevé a enseigné à l’Université François Rabelais à Tours et à l'École d’art et du design Le Havre / Rouen, avant de rejoindre l’EnsAD, où elle est rattachée au collège de Théorie et au secteur Design Textile et Matière. Elle donne un cours magistral fondamental d’Histoire de l’art («Déconstruire l’Histoire de l’art ?»). Elle est membre du comité Rosa.

Spécialiste de l’abstraction et du champ féministe, elle s’intéresse aux liens entre art et arts décoratifs, aux dialogues entre art et textile, entre peinture et textile, entre abstraction, textile et genres, avec un regard particulier sur les productions de créatrices. Ses recherches portent également sur la place et les expériences des femmes à l’École des Arts Décoratifs – elle a notamment mené avec un groupe d’étudiant.es le projet « Chères toutes ».  

Consultante en Design, commissaire d'exposition et journaliste pour différents journaux internationaux, Anna Bernagozzi est depuis 2004 enseignante de théorie et histoire du Design à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris.

Elle a toujours travaillé dans des contextes de prospective et a mis ses compétences au service de sociologues et perspectivistes tels que Mathias Horx, Bernard Cathelat et Lii Edelkoort.  Convaincue de l’importance de l’analyse précise du contexte pour  faire évoluer le métier du designer, elle favorise la mise en place de différentes méthologies transdisciplinaires permettant aux designers de mieux cerner in situ les problématiques actuelles et devenir de véritables acteurs de ce changement. Ces méthodologies peuvent s’appliquer à des domaines très disparates à l’instar de deux projets de recherche EU sur 4 ans qu’elle a dirigé et dirige actuellement à l’Ensad : le projet IC-IC -http://seamlessairtravel.eu/ic-ic/Consortium.html- (2011-2014), qui avait comme objectif d’améliorer l’experience du voyageur aérien et le projet 4Cs - https://www.4cs-conflict-conviviality.eu - (from Conflict to Conviviality through Creativity and Culture), initié depuis 2017 et dont l’objectif  général est de redéfinir et favoriser  le cadre conceptuel propre au dialogue interculturel. La méthologie du projet 4Cs tels qu’il est mené au sein de l’ENSAD repose notamment sur l’importance de la compréhension et de l’intégration des références sociales, politiques et culturelles de migrants dans la résolution de situations de conflit en appliquant des méthodologies du design.
Anna Bernagozzi a été Keynote Speaker dans de nombreuses conférences internationales. Dans le cadre de Catedra Europa à l’Universidad del Norte de Barranquilla en Colombie en mars 2017, à l’occasion du « Fair Design » à l’Académie des Beaux-Arts de Varsovie en mai 2018,  ou lors de la conférence “Fragile, Design et précarité” dans le cadre de la Biennale Reciprocity  Design en octobre 2018 à Liège.
Auteur de nombreux articles, elle a participé à l’élaboration de plusieurs ouvrages sur le design comme “ De la simplicité  de John Maeda” dans Leonardo Electronic Almanac/Olac/ Les Basiques, Paris, 2013,  « Slow design, con brio » dans “Italian design towards sustainability”, Confindustria Ceramica Italiana, Co-editeur of Laser, Esthétique/Design 1998/2008, sous la diréction de Philippe Lemoine, Laser, Paris; « Design sans frontières : le cas Bouroullec. Entretien avec Andrea Branzi » dans Design & Designers français, ed. Medifa, Paris, 2006.
Co-editeur de Hybrid Realities, ed. Archibooks, Paris, 2005.
Article « Design et archivage informatique »  in Design & Sic., n, ed. Medifa, Paris, 2004.
Commissaire d’exposition depuis 2001  avec une première exposition dans le cadre du Salon du Meuble de Cologne intitulée « Design France », Anna Bernagozzi signe en 2002  « Fundoshi Experience », exposition phare de la biennale de Design de Courtrai 2002, puis en 2005 « Freedom of creation » à la galerie Dyson à Paris, l’une des premières exposition autour de réflexions et applications du prototypage rapide en design. En 2010 elle conseille et contribue au catalogue de la première exposition « Design real » du designer Konstantin Grcic à la Serpentine Gallery de Londres et mutiplie les expositions auprès de différentes institutions et galeries lors des Designer’s Days à Paris  (Le lieu du design, Boffi, Maxalto, etc.). En 2018 elle co-signe l’exposition « Les nouveaux objets pédagogiques », portant ” sur les enjeux de l’éducation en Design dans les années à venir, lors de la Biennale internationale de Liège.

Anna Bernagozzi est convaincue que pour comprendre, façonner une nouvelle "condition humaine" et faire face à l’évolution rapide du contexte contemporain actuel, il faut concevoir, de préférence collectivement , une alternative plus éthique aux méthodologies actuelles de faire et de penser le design. Dans cette nouvelle perspective, les designers seraient les initiateurs d'une société plus flexible et leur attitude proactive permettrait de faciliter le partage d’expériences par la création d'artefacts capables d'établir une nouvelle esthétique relationnelle, plus compréhensive, généreuse.

Enseignante en Design vêtement.

Catherine Strasser est historienne de l’art et critique d’art, ses travaux portent sur l’art moderne et contemporain. Elle a écrit de nombreux articles et livres, notamment sur la question du travail dans l’art.

Historien et critique d’art, il intervient en Photo/vidéo, il donne plusieurs cours transversaux le jeudi « Emprise des lieux » et « Illuminations profanes ».

Enseignante en sciences humaines.

Diplômé des beaux-arts, il est professeur de Morphologie à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs - Paris.

Après avoir occupé le poste de directeur artistique dans plusieurs agences de communication, il a ensuite été en charge de la section Design graphique chez Daylight (Apple Computer France, Crédit Agricole, Institut du monde arabe, etc.).
Graphiste indépendant depuis 1992, il a fondé avec Laurence Barjini en 2011 l’Atelier Barjini Graphic Context, agence spécialisée dans les projets d’identité et de signalétique de structures culturelles (École d’architecture de Versailles, Faculté de pharmacie de Paris, etc.).

Il est l’auteur de Le corps à nu. Manuel de morphologie (Paris, EnsAD/La Découverte, 2017)

Expositions en France (Palais de Tokyo, MAMVP, centre Pompidou, etc) et à l'étranger (Moca de Taïpei, Mac de Melbourne, ISCP de New York, etc).

Représenté par la galerie Loevenbruck, Paris et Elaine Levy, Bruxelles.

Jean-François Fourmond est photographe auteur, il est diplômé de l’École Nationale des Arts Décoratifs et professeur des écoles nationales supérieures d’art.

Il commence la photographie professionnelle fin des années 80 dans la publicité et la mode. Depuis une vingtaine d’années, il travaille sur des sujets sociétaux. Dans ses projets documentaires, la place de l’humain est centrale. Il parle de ce qu’on ne voit pas, des oubliés, de la solitude et de la disparition. Il a animé un Workshop documentaire à Bamako au Conservatoire des Arts et Métiers et Multimédia de 2006 à 2009. Son travail sur les maisons de retraites médicalisées et la vie du quatrième âge a été exposé au Palais du Luxembourg à Paris en 2009. Photographe de l’agence de presse de photographies d’urbanisme et d’architecture « Urba images »depuis 1994, il en prend sa direction entre 2012 et 2014. Aujourd’hui il continue d’exposer ses travaux.

Depuis trois ans, ses recherches se sont orientées vers le renouvellement urbain et les problématiques de transformation du territoire liés au Grand Paris (mutation et mémoire). La restitution de ce travail a commencé en décembre 2020 à Bagneux en Ile de France par une exposition dans la Cité des Musiciens.

Il aime associer dans son travail photographique, son et vidéo et collabore pour la réalisation de ses projets personnels ou de ses commandes, avec des artistes ou auteurs de divers horizons. 

Peintre et sculpteur, Mathieu Gaudric travaille à Paris et dans le sud de la France. S’attacher à ce qui fait de la peinture et la sculpture un art qui transcende le temps, constitue pour lui la source d’un renouvellement inépuisable. Tout son travail s’efforce de nous conduire au plus près de la forme, vers ce qui l’anime et se laisse saisir de l’intérieur.

Il découvre au cours de ses années de formation auprès d’artistes peintres et sculpteurs, le sens de la lumière et la force architecturale de la composition, ainsi que le courant de la sculpture indépendante des XXème et XXIème siècles. Il se rattache à cette filiation en intégrant, dès son ouverture en 2004, la Galerie Malaquais à Paris et participe à la série d’expositions qu’elle organise autour de Rodin, Maillol ou encore Germaine Richier.
Il poursuit ses recherches en travaillant dans un atelier à Paris où il mène un travail de peintre, en parallèle de son activité de sculpteur. Il obtient son premier prix de sculpture en 1997, par la Fondation de France. 2001 est l’année de la reconnaissance de son travail de peinture, avec le prix Noufflard. En 2002, l’Académie des Beaux-Arts - Institut de France récompense son travail de dessin, puis son travail de portrait dès l’année suivante, avant de récompenser son travail de sculpteur en 2007 par un prix remis par Pierre Cardin. En 2003, il est admis comme pensionnaire à la Villa Médicis - Académie de France, à Rome. D’autres prix de peinture et sculpture suivront, notamment de la Fondation Taylor, entre 2006 et 2009.

Vouant un réel engagement pour la transmission, il est nommé professeur de dessin et sculpture à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en 2009. Il participe à plusieurs expositions, telles que Le peintre de l’intime en 2019 et Une fleur pour langage en 2024 au Centre d’art Art et Liberté de Charenton où il présente un ensemble de ses peintures récentes, ainsi que L’exposition 102 à la Halle des Blancs Manteaux, à Paris en 2022, consacrée à ses sculptures. Ses œuvres figurent dans plusieurs collections privées.

Compositeur de musique électronique, Bertrand Gauguet multiplie les collaborations avec la danse, le cinéma et la radio en composant des musiques originales et en réalisant aussi des décors sonores pour le spectacle vivant ou des expositions. Saxophoniste, improvisateur et interprète, il multiplie les collaborations et est programmé dans de nombreux festivals de musiques nouvelles et expérimentales en France et à l’étranger.

Ses intérêts explorent la relation entre musique et non-musique, le son comme support de méditation, les enjeux cognitifs de l'écoute, la phénoménologie du son, l’acoustique et plus largement les différents rapports que son et musique entretiennent avec l’espace physique, l’espace social, le corps et la mémoire. Il a été pensionnaire de la villa Kujoyama à Kyôto en 2011. Il enseigne les pratiques de création sonore depuis 2017 à l’Ensad à Paris. Il a enseigné l’histoire de l’art contemporain de 2006 à 2016 et les pratiques sonores de 2007 à 2016 à la Haute Ecole des Arts du Rhin - site de Mulhouse, où il a co-fondé l’atelier et le pôle de recherche Sonic : programmation de concerts, commissariat d’expositions, conférences et auteur pour différentes revues et ouvrages collectifs.

Née à Paris en 1972, Iris Levasseur vit et travaille à Arcueil. Son univers pictural est un mélange étrange de pesanteur et de légèreté, de réalité humaine et de rêves. En peintre chorégraphe, elle questionne les corps et leur évolution dans l'espace, à travers des scènes monumentales aux interprétations ouvertes qui imposent leur présence physique au spectateur. Les compositions dans lesquelles elle met en jeu ses figures se réfèrent à des situations d'échanges violents, de dépositions dramatiques et d'abandons insondables du corps. Son regard sur le monde qui l’entoure est primordial et elle tire son inspiration de l’observation quasi quotidienne de zones péri-urbaines, d’où l’importance de certains détails comme les vêtements de ses personnages. Les textures employées ont pour effet de suggérer une instabilité, parfois même un malaise. Iris Levasseur est représentée à Paris par la galerie Odile Ouizeman depuis 2007 et par la galerie Iragui a Moscou. Elle a bénéficié de nombreuses expositions dans des Centres d’art, Frac et Musées. Ses oeuvres figurent dans d’importantes collections privées. Elle a participé aux expositions abordant le renouveau de la peinture figurative en France : Génération 70, Collection 3, d'Après la ruine, La belle peinture est derrière nous.

Enseignement/conférences
Enseignante à l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs depuis 2005,
2002-2011 : enseignement de l’architecture intérieure à l’Académie Charpentier (Paris 6ème).
Pour ConstruirAcier (ex OTUA), depuis 2007 : création du programme Culture acier (enseignement du matériau acier dans les écoles d’architecture intérieure et de design). Constitution de la matériauthèque acier, partenariats, programme du concours annuel. Cycle de conférences Acier, portrait d’un matériau ; Acier et architecture intérieure.

Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (1989), section architecture intérieure

Architecture intérieure, maîtrise d’œuvre.
La Superstructure – 6 rue Saulnier 75006 Paris
Tél. : 01 53 34 09 31 - Mobile 06 77 15 88 79
pascale.lion@lasuperstructure.com

Exercice indépendant depuis 1993. Rénovation et aménagement de maisons et appartements particuliers. Locaux d’entreprises et programmes spécifiques (showroom, agence de style).

Design
Création de mobiliers et objets en maille métallique. Depuis 2008 : les bijoux oooo, une collection
diffusée en France et à l’international. Gérante de la SARL PLP créée en 2001.

Créations pour des éditeurs : ENO studio, Agnès b, La collection pour FOIN cottes de mailles, Verre et maille, pour les verreries Dumas.

Direction artistique.
Pour Honeywell Safety Products, département Foin cotte de mailles (architecture et la décoration),

depuis 2006 : développement de produits et de matières, réalisation de stands, conseil. Pilotage de l’identité visuelle, du site internet, de la documentation technique et des outils de vente.

Pour MC&I : conseil, image, création de produits (systèmes de cloisonnement et rideaux en mailles
spiralées).

Pierre Marquis est architecte et ingénieur au sein du bureau d'études techniques Bollinger + Grohmann à Paris. En association avec architectes, artistes, entreprises de la construction ou de l'industrie, il travaille sur des projets aux échelles et aux programmes variés, au sein d'équipes pluridisciplinaires

Ancien élève de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne en Suisse, Pierre est architecte diplômé d'état de l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de la Ville et des Territoires sous la  direction de Marc Mimram. Il est également ingénieur en génie civil diplômé de l'Ecole des Ponts ParisTech.