C’est bon j’ai pris le pouvoir
Margaux Ballagny
C’est bon j’ai pris le pouvoir
Publier n’est pas simplement produire des formes éditoriales. Il s’agit surtout de créer un public, voire un contre-public. J’ai commencé à considérer le livre comme un espace de galerie. Un livre, c’est un peu comme un white cube, un carnet de notes en libre accès et dans une forme établie en corrélation avec son contenu.
Le projet
J’ai envie d’y inviter mes ami·e·s pour montrer leurs travaux, J’ai envie que cette galerie portative puisse être facilement accessible, mouvante, en vie, joyeuse, festive. J’ai envie d’y mettre ce qui me plaît, cette littérature sauvage. Non pas pour la dompter mais pour lui offrir un espace dans lequel se montrer, une parure afin qu’elle puisse être par la suite remarquée dans son habitat naturel.
Quelle est sa parure ? Les typographies ont été réalisées par des femmes, sont libres de droit et open source. Le papier est issu de forêts gérées durablement, le format tient parfaitement dans les poches et dans les mains. Bienvenue dans mes livres.





Autres diplômes
Tous-
Raphaëlle Kerbrat
Le Poids des Données, paradoxes matériels et sensibles du numérique
- EnsadLab
-
Stéphanie Ovide
Nouvelles matières de la mode au sein des collections de la maison Balenciaga au XXe siècle. Nécessité d’une recherche par la pratique de la restauration textile
- EnsadLab
-
Corentin Pechon
SENS-E : Repenser une architecture intérieure sensorielle au service de la déficience visuelle
- Architecture intérieure