La ville transformée : exploration de la notion d'exclusion
Victoria-Antoinette Megens
La ville transformée : exploration de la notion d'exclusion
Ce projet est né de la forte sensation d’exclusion que ressent Victoria Antoinette Megens lorsqu’elle entre dans un bâtiment. L’architecture d’aujourd’hui est conçue pour répondre aux besoins des êtres humains et surtout aux désirs d’individus qui souhaitent y vivre.
Le projet
Ces espaces intérieurs monospécifiques et stériles autorisent la flore à se développer seulement sous la forme d’un décor et la faune à vivre comme des compagnons domestiques.
Victoria Antoinette Megens pense le design en relation avec la biosphère protectrice dans laquelle nous évoluons, concluant de manière évidente que notre espèce ne doit pas prédominer sur les autres êtres vivants.
La ville transformée est une exploration de la notion d’exclusion et un manifeste spatial qui propose de redonner leur place aux autres espèces au sein de milieux centrés sur l’humain. En inversant le rôle de l’exclusion dans les paysages urbains, le protocole négocie des lieux de sauvegarde afin que d’autres organismes puissent y prospérer.