Dans ce court métrage, Louis Oppmann explore le lien entre l’intimité et l’espace qui le conditionne. Entités indépendantes et préexistantes, les espaces quotidiens comme nos foyers existent-ils sans nous ?
Dans ce court métrage, Louis Oppmann explore le lien entre l’intimité et l’espace qui le conditionne. Entités indépendantes et préexistantes, les espaces quotidiens comme nos foyers existent-ils sans nous ?
Un échantillon d’une forme de vie inconnue est observé par un œil clinique à travers ses nombreuses strates. Au fil des boucles qui l’animent, l’échantillon s’éveille, puis éclate.
Un échantillon d’une forme de vie inconnue est observé par un œil clinique à travers ses nombreuses strates. Au fil des boucles qui l’animent, l’échantillon s’éveille, puis éclate.
Dans le tourment général de ces dernières années, Emilie Lor a souhaité participer, à son échelle, à la guérison collective. Faute de savoir médical, elle construit des narrations qui ne se finissent pas en impasse, mais s’ouvrent sur l’immensité.
Dans le tourment général de ces dernières années, Emilie Lor a souhaité participer, à son échelle, à la guérison collective. Faute de savoir médical, elle construit des narrations qui ne se finissent pas en impasse, mais s’ouvrent sur l’immensité.
Ce court métrage est l’histoire d’une migration, sujet très présent dans l’histoire familiale de l’artiste : celle de sa mère vénézuélienne, l’exil de ses oncles, cousins et amis, puis de leur reconstruction ailleurs.
Ce court métrage est l’histoire d’une migration, sujet très présent dans l’histoire familiale de l’artiste : celle de sa mère vénézuélienne, l’exil de ses oncles, cousins et amis, puis de leur reconstruction ailleurs.